Le petit hélicoptère martien de la NASA poursuit son chemin. Il a déjà effectué 51 vols, et se prépare pour le 52ième. C’est une véritable prouesse technique car initialement il avait été conçu pour ne faire qu’une demi douzaine de vol. Voici un récapitulatif de ses derniers vols :
Le vol 52 prévu initialement le 26 avril 2023 n’a pas encore était réalisé car la typologie du terrain ou se trouve actuellement l’hélicoptère rend beaucoup plus complexe sa communication avec le robot Persévérance.
Date de vol prévue: 04/26/2023
Distance de vol horizontale: 1191.522 pieds (363.176 mètres)
Temps de vol: 138,88 secondes
Altitude de vol: 40 pieds (12 mètres)
Vitesse de vol maximale: 8,3 mph (3,7 mètres par seconde)
La Station spatiale internationale, est une station spatiale placée en orbite terrestre basse, occupée en permanence par un équipage international qui se consacre à la recherche scientifique dans l’environnement spatial.
Elle gravite sur une orbite située à 408 km d’altitude de la terre. Elle se déplace sur son orbite à une vitesse de 7.66 km/s. Son coût est de 135 Milliard d’€uros.
Architecture de l’ISS
La partie habitable de l’ISS est constituée d’une succession de modules pressurisés. En ne comptant que les éléments principaux et en partant du segment russe on rencontre le module de service Zvezda, le module de stockage Zarya, le nœud central Unity, le laboratoire américain Destiny puis le nœud Harmony. Cet axe principal possède une longueur totale de 51 mètres.
Perpendiculairement à cet axe, au niveau du nœud Harmony, sont attachés le laboratoire européen Columbus et le laboratoire japonais Kibo. D’autres modules sont fixés aux éléments principaux : des modules d’amarrage et de stockage, un sas américain (Quest) et le troisième nœud américain (Tranquility) avec la coupole d’observation européenne (Cupola) d’où nous proviennent de magnifiques images de la Terre. Avec tous ces éléments, le volume habitable total atteint les 388 mètres cubes.
En cliquant sur l’image ci-dessus, vous aurez accès à la chronologie de la construction de l’ISS.
Bientôt un studio de cinéma à bord de l’ISS
L’entreprise Space Entertainment Enterprise (SEE) vient juste d’annoncer qu’elle avait comme plan de rattacher un module contenant un studio de cinéma à la Station Spatiale Internationale (ISS). SEE, c’est la société qui va coproduire le film que l’acteur Tom Cruise va tourner à bord de l’ISS. La compagnie a ainsi demandé à Axiom Space de construire le module gonflable contenant le studio de production, et qui devra être prêt d’ici décembre 2024.
D’après les déclarations de SEE, le module va servir à tourner des films, des émissions de télévision, des événements sportifs, mais aussi à faire de la musique. Il s’agit ainsi d’un module qui servira aux artistes et aux producteurs qui voudront tourner des contenus en orbite basse.
Ce que l’on sait du nouveau module
Selon les informations, le module, qui est pour le moment dénommé SEE-1, aura la forme d’une grosse balle de golf avec un diamètre de 6 m. Il va s’attacher au futur module d’Axiom Space qui va s’appeler Axiom Station. Ce dernier devrait être lancé d’ici la fin de l’année 2024 et sera lui-même attaché au module Harmony de l’ISS.
Même sans le studio de cinéma, le module Axiom Station constituera déjà une attraction à bord de l’ISS. Axiom Space va en effet l’utiliser pour offrir l’opportunité aux touristes et aux industriels de visiter la station spatiale. L’on sait également que l’Axiom Station pourra éventuellement se détacher de l’ISS en 2028 pour constituer une plateforme orbitale indépendante.
Pour en savoir plus, cliquez sur l’image ci-dessous.
Coût d’un séjour dans l’ISS
Envoyer des objets ou des passagers dans l’espace n’est pas quelque chose de facile, et il faut payer le prix si l’on veut atteindre l’orbite basse. Si l’on prend l’exemple du lanceur Falcon 9 de SpaceX, il faut payer 2 720 dollars par kilogramme pour envoyer une charge en orbite. Pour un Américain adulte moyen, le tarif sera ainsi d’environ 200 000 dollars. A part cela, il y a aussi le prix à payer pour pouvoir rester dans l’espace qui est compris entre 88 000 et 164 000 dollars par personne par jour.
Cette fois il atterrit ! SpaceX réussit son vol d’essai.
Le prototype Starship SN15 a été lancé à haute altitude et est revenu se poser sur Terre sans problème le 05 mai 2021. Les quatre précédents avaient tous été détruits lors d’une explosion à leur retour sur Terre.
Cliquez sur l’image ci-dessous pour visionner l’essai réussi de la fusée Starship SN15
Le vaisseau SN15 a décollé de Boca Chica, au Texas et s’est élevé à plus de 10 km dans le ciel, de manière à tester les manœuvres en vol. Tout s’est parfaitement déroulé, même l’atterrissage à la verticale sur une plate-forme en béton non loin de la rampe de lancement.
Pour en savoir plus sur cet ambitieux programme, cliquez ici.
Le premier vol d’Ingenuity Mars Helicoptere pour un vol motorisé et contrôlé sur une autre planète a été réalisé avec succès le lundi 19 avril 2021.
Ingenuity, le petit hélicoptère de la NASA rentre dans l’histoire en devenant le premier engin conçu par des humains à avoir volé sur Mars.
Pour marquer l’événement la NASA organise plusieurs événements pour amener le public en ballade martienne. Rendez-vous sur NASA Television, et l’application NASA app, ainsi que sur d’autres plateformes comme les chaines Youtube et Facebook pour vivre cette ces moments historiques.
L’engin, fixé au châssis de l’astromobilePerseverance, a été libéré le 4 avril 2021. Pour la première fois dans l’histoire de l’ère spatiale, un engin effectuera un vol motorisé sur une autre planète. L’objectif est de tester les capacités d’un tel appareil dans le domaine de la reconnaissance optique du terrain dans cet environnement caractérisé par une atmosphère très ténue limitant la portance et par des délais de communication qui interdisent tout contrôle direct du vol par un opérateur humain.
Pour en savoir plus sur ce concentré d’ingénierie, cliquez sur l’une des images ci-dessous.
Le lundi 19 avril 2021, vers 07H34 GMT, l’engin de 1,8 kg s’est élevé à trois mètres d’altitude et a fait du surplace pendant 39 secondes avant de revenir se poser sur la surface de Mars.
L’opération était un véritable défi, car l’air martien est d’une densité équivalente à seulement 1% celle de l’atmosphère terrestre. Or, c’est en poussant l’air en tournant que les hélices peuvent soulever du poids. Sur Mars, « il y a simplement moins de molécules à pousser », avait expliqué MiMi Aung avant le vol.
Même si la gravité y est moindre que sur Terre, les équipes de la Nasa ont dû développer un engin ultra-léger dont les pales tournent bien plus vite qu’un hélicoptère standard, pour réussir. Avec ses quatre pieds et deux pales superposées (1,2 m de long), il ressemble davantage à un gros drone. Pour un hélicoptère sur Terre, les pales tournent à 400-500 tours, et là c’est 2500 tours/minute tellement la densité de l’atmosphère martienne est extrêmement faible, tellement c’est un domaine de vol, de l’aérodynamique totalement inconnu, donc c’est un exploit extraordinaire. « C’est de l’innovation, de la créativité pure. » « Il ouvre surtout la voie à des porteurs plus lourds, qui nous permettront d’aller dans des endroits qu’on ne peut pas facilement atteindre » (Sylvestre Maurice, directeur de recherche au CNRS à l’Institut de recherche en astrophysique et planétologie (IRAP).)
Le vol d’Ingenuity est l’équivalent sur Mars du premier vol d’un engin motorisé sur Terre, en 1903, par les frères Wright. Un morceau de tissu de cet aéronef ayant décollé il y a plus d’un siècle en Caroline du Nord aux États-Unis a même été placé à bord d’Ingenuity.
Au cours du deuxième vol , le 22 avril, Ingenuity a grimpé de manière autonome à 5 mètres (16 pieds) de hauteur, a parcouru 2 mètres (7 pieds) à l’est et à l’arrière, et est resté en vol 51,9 secondes. Il a également effectué trois tours, totalisant environ 276 degrés.
Pour le troisième vol, le 25 avril, Ingenuity a augmenté sa vitesse maximale de 0,5 mètre par seconde à 2 mètres par seconde (environ 4,5 mi / h) et a parcouru une distance de 50 mètres ( 164 pieds) au nord et est retourné atterrir à Wright Brothers Field. Temps total du vol 80 secondes et une distance parcourue de 100 mètres (330 pieds). Ce vol avec déplacement latéral était un test pour le système de navigation autonome de l’hélicoptère, qui exécute ce trajet selon des informations reçues préalablement. « Si Ingenuity vole trop vite, l’algorithme de vol ne peut pas identifier le relief », a expliqué la Nasa.
Lors du quatrième vol, le 30 avril, le robot a survolé des rochers et des petits cratères d’impact sur 84 mètres. La caméra de navigation a alors collecter des images de la surface martienne tous les 1,2 mètre, jusqu’à ce que l’hélico ait parcouru une distance de 133 mètres. Ingenuity a ensuite passé en vol stationnaire, pris des images en couleur, avant de revenir se poser. Pour réaliser tout cela, le temps de vol est passé de 80 à 117 secondes, et la vitesse augmentée, passant de 2 mètres par seconde à 3,5.
Pour le cinquième vol, le 7 mai 2021, Ingenuity a décollé de Wright Brothers Field (le même endroit où l’hélicoptère a décollé et atterri sur tous les autres vols) mais il a atterri ailleurs en direction sud à 129 mètres (423 pieds). Au lieu de faire demi-tour et de rentrer, Il a réaliser un nouveau record en grimpant à 10 mètres de hauteur, et pris des images en couleur (ainsi qu’en noir et blanc) de la région. Après un temps de vol total d’environ 110 secondes, Ingenuity a atterri, effectuant son premier aller simple.
Nous nous lancerons maintenant dans une nouvelle phase de démonstration, une phase où nous exposerons ce que cette nouvelle technologie peut faire pour aider d’autres missions plus tard.
Oui, le fameux hélicoptère Ingenuity poursuit ses exploits sur la planète rouge. En effet, la NASA avait programmé un énième vol en toute fin de semaine dernière et l’exercice s’est une fois encore déroulé à la perfection.
C’est dans la nuit du 4 au 5 juillet 2021 que s’est tenu le neuvième vol de l’hélicoptère miniature Ingenuity. Ces essais grandeur nature à la surface de Mars permettent aux ingénieurs de réaliser de nombreux tests qui pourraient s’avérer utiles au moment de faire atterrir un engin plus volumineux, dans quelques années, sur ce monde voisin de la Terre. Mais nous n’en sommes pas encore là…
Au cours de cette nouvelle envolée, l’hélicoptère s’est hissé dans les airs durant 166,4 secondes. Il a ensuite pu se déplacer à une vitesse record de 5 mètres par seconde. Le tout sur une distance de 625 mètres. Ingenuity s’est également permis de prendre un petit raccourci au-dessus d’une zone accidentée nommée Séítah, qui était jugée bien trop dangereuse pour Perseverance .
Voici en 10 questions tout ce qu’il faut retenir sur la mission de ce petit hélicoptère de la Nasa, qui accompagne le rover Perseverance sur Mars.
Sortis tout droit de notre imagination, les taxis volants sont devenus réalité.
Le groupe ADP, AIRBUS et la RATP se sont officiellement lancée dans la bataille, avec l’objectif de tester un projet de mobilité aérienne urbaine et de faire voler ses 1er passagers d’ici aux JO de 2024. Les trois sociétés viennent d’annoncer l’implantation d’une zone d’essais sur l’aérodrome de Pontoise – Cormeilles-en-Vexin, à 35 kilomètres au Nord de la capitale à partir de juin 2021.
Les espaces urbains devront s’adapter pour accueillir ces nouveaux moyens de déplacement.
Ce nouveau type de mobilité nous interroge aussi sur notre vision du futur. Pollution visuelle, sonore, sécurité… mais aussi déshumanisation… ces taxis autonomes soulèvent de nombreuses questions. Alors peuvent-ils vraiment révolutionner la mobilité urbaine?
Le 18 février 2021 le robot persévérance a atterri sur la planète Mars. Ce robot est une prouesse de technologie. Pour découvrir les fonctionnalités de ce robot martien, cliquez sur l’image ci-dessus.
Les premiers mètres du rover Perseverance sur Mars. Cliquez sur l’image ci-dessus pour accéder à d’autres ressources éditées par la NASA.
Pour en savoir plus sur cette mission cliquez ici et vous aurez accès à de nombreuses ressources diffusées par le CNES.
Bon voyage dans le l’univers des Sciences de l’Ingénieur.
Si vous êtes passionné(e) par la conquête spaciale, la NASA à créé une bibliothéque de roches spatiales collectées lors de différentes missions. Pour les découvrir, cliquez sur l’image ci-dessous.
Vous pourrez manipuler des roches spatiales de tout le Système solaire grâce au nouvel outil 3D de la NASA.
Ces roches feront probablement partie des matériaux que l’homme utilisera demain pour conquérir l’espace. Bonne visite.
La sonde japonaise Hayabusa-2 envoie des échantillons d’astéroïde sur Terre
Le vaisseau, lancé en 2014, a relâché une capsule de prélèvements qui est retombée sur terre le samedi 05 décembre 2020 en Australie. En cliquant sur l’image ci-dessous vous aurez accès à des vidéos et des informations sur cette mission spatiale.
La cible de Hayabusa 2 est Ryugu, un astéroïde de type C. L’astéroïde est de forme à peu près sphérique avec un diamètre d’environ 875 mètres (à 15 mètres près). Sa période de rotation est de 7,63 heures.
Hayabusa 2, après s’être placée en orbite autour de l’astéroïde, a étudier à distance les caractéristiques de celle-ci, puis envoyer un atterrisseur chargé d’effectuer des analyses in situ avant d’effectuer un prélèvement d’échantillon qui doit être ramené sur Terre. La mission Hayabusa 2 a deux objectifs scientifiques :
l’étude de l’astéroïde à l’échelle macroscopique pour toutes les caractéristiques qui peuvent être mesurées à distance par les instruments de la sonde spatiale : caméras multispectrales, spectromètre proche infra-rouge, imageur thermique infra-rouge, altimètre laser ;
l’étude de l’astéroïde à l’échelle microscopique à partir des échantillons rapportés sur Terre (quelques milligrammes).
Cliquez sur l’image ci-dessus pour découvrir cette fabuleuse aventure spatiale.
Cette maquette à l’échelle 1:1 donne une idée de la taille de la sonde spatiale.
En cliquant sur l’image ci-dessus vous aurez accès à une mine d’informations sur le petit atterrisseur européen MASCOT. Le petit atterrisseur MASCOT doit permettre d’effectuer une analyse minéralogique in situ du sol de l’astéroïde pour mettre en évidence d’éventuels minéraux hydratés et carbonés. Il doit également fournir le contexte scientifique aux observations effectuées à distance.
L’astéroïde Ryugu est un fossile des temps primitifs lorsque le Système solaire était en formation. De nouvelles images du module européen Mascot montrent sa surface de plus près, révélant des informations sur ce petits corps céleste.
Position des instruments et équipements de l’atterrisseur MASCOT : 1Atterrisseur MASCOT – 2 Caméra ONC-W2 –3 Caméra ONC-W1 –4 Caméra ONC-T –5 Caméra CAM-H –6 Imageur infrarouge thermique TIR –7Impacteur SCI –8 Marqueurs (x 5)-9 Cône d’échantillonnage –10 MINERVA II-2 –11 Altimètre laser –12 MINERVA II-1 –13 Capsule contenant les échantillons de sol –14Spectromètre proche infrarouge NIRS3 –15Panneaux solaires –16 Antenne grand gain –17Viseurs d’étoiles (x2) –18 Caméra DCAM-3.
En cliquant sur l’image ci-dessus vous pourrez voir des images spectaculaires de l’astéroïde Ryugu prises par le robot Mascot lors de son atterrissage le 3 octobre 2018.
L’électrification va t’elle transformer le transport aérien de demain ?
Inimaginable, il y a 20 ans, l’électrisation des avions légers est aujourd’hui une réalité. On ne compte plus les modèles d’avions à moteur électrique en développement. Le 28 mai 2020, l’envol d’un Cessna 208B « Grand E-Caravan » marque un pas important dans la transition énergétique, car il s’agit du plus grand appareil doté à ce jour de cette motorisation.
Le Cessna 208B Grand E-Caravan est équipé d’une motorisation électrique Magni500 de Magnix, un système de propulsion tout électrique de 750 ch. Le Magni500 du « Grand E-Caravan » est alimenté par un système de batterie au lithium-ion de 750 V pesant environ une tonne, Magnix étudie d’autres technologies, notamment les batteries au lithium-soufre et les piles à hydrogène.
« Selon sa configuration, la « Grand E-Caravan » propulsée par Magni500 peut transporter 4 à 5 passagers sur des vols allant jusqu’à 100 miles, en tenant compte du besoin de réserve d’énergie.
Alors que l’eCaravan n’a «brûlé» que 6 € d’électricité lors de son premier vol d’une demi-heure et que les batteries lithium-ion ont prouvé qu’elles peuvent voler en toute sécurité, elles n’ont pas la densité d’énergie requise pour les voyages en avion sur de longues distances.
LE SYSTEME DE PROPULSION MAGNIX MAGNI 500
Fiche technique de la motorisation (Cliquez ici pour la voir). Vidéo essai de propulsion (Cliquez ici pour la voir). Article sur la motorisation Magni 500 (Cliquez ici pour le voir). Présentation de la société MAGNIX (Cliquez ici pour la voir).
L’HELICE Fiche technique (Cliquez ici) Article : Propelling Aviation Into the Electric Age (Cliquez ici). Hartzell Propeller: How Propellers are made (Vidéo ici).
Vidéo : Comment c’est fait une hélice (cliquez l’mage pour la lire).
CONCLUSION L’électrification va t’elle transformer le transport aérien de demain ? Regardez la vidéo suivante en cliquant ici pour argumenter votre pensée.
Les astronautes américains Bob Behnken et Doug Hurley se sont envolés samedi 30 mai 2020 du centre spatial Kennedy, en Floride, à bord d’une fusée de SpaceX, première société privée à se voir confier par la NASA une mission aussi prestigieuse et risquée.
Pour accompagner le premier vol habité lancé à partir des Etats-Unis avec un vaisseau américain (le symbole est important), Space X vous invite à tester vous-même vos qualités de pilote avec l’ISS Docking Simulator !
Ce simulateur vous familiarisera avec les commandes de l’interface réelle utilisée par les astronautes de la NASA pour piloter manuellement le véhicule SpaceX Dragon 2 vers la station internationale ISS.
Plus qu’un jeu, c’est avant tout une opération de communication extrêmement bien menée par l’équipe de Space X, une opération ludique qu’on vous invite à tester depuis votre navigateur Internet (rien à installer) en cliquant sur ce lien.
Pour savoir à quoi ressemble l’intérieur de la capsule SpaceX Crew Dragon et la station internationale, cliquez sur les images ci-dessous.